Tous les types de revêtements ne sont pas compatibles à un bord de piscine.
La pierre bleue reflète la beauté notamment avec l’éclat de l’eau, mais peut rapidement devenir glissante. De plus, les pierres sombres captent la chaleur, ce qui vous fait éviter de marcher dessus pied nus par une journée ensoleillée.
Le bois est solide, mais devient terne au fil du temps… Vous pouvez pourtant traiter le bois par de l’huile, mais il récupèrera sa vraie nature que lorsqu’il est humide.
Sachez qu’il existe une couverture convenant sûrement à votre piscine : les planches de terrasse en lame composite. Elles combinent tous les avantages du bois et du PVC.
Des couvertures de sol éco-responsable
Inspirés des bois durs striés importés des forêts pluviales torrides, ces nouveaux produits fait en composite copie remarquablement le bois sans en avoir les inconvénients de traitement et sans méfaits à l’environnement. Pas besoin d’arbres abattus pour le faire. Des mélanges de 95 % de sacs plastique, de bran de scie et de bois de récupération, c’est une substance qui subit un recyclage de 95 %.
Le procès de fabrication tente, lui aussi, d’être le plus écologique possible. Les remorques sont ravitaillées à l’huile végétale. Le procédé de traitement exclusif permet d’éliminer les cheminées d’usine. Les déchets d’usine et les écoulements sont nouvellement recyclés dans la suite de fabrications.
La place de la lame composite
Rival du bois exotique, le bois composite pour le terrain a une durée de vie aussi longue, voire supérieure. Il ne se craquelle pas, il combat aux champignons et aux insectes nuisibles, et la mousse n’y applique pas. Son soin est limité : avec d’un coup de balai-brosse sur le sol avec de l’eau savonneuse régulièrement au moins une fois par an. En cas de marque de tâche, usez un produit spécifique ou la terre de Sommières. Même mouillé, ce matériau reste adhérent : pas de risque de glissade. Autre avantage, il n’assombri pas sous l’action des UV, sa couleur change seulement en un peu plus pâle. Cette décoloration logique se stabilise après 6 à 12 mois environ, variant les conditions climatiques.